Nous passons près de 80% de notre temps dans des espaces clos et respirons en moyenne plus de 13 000L d’air chaque jour. La qualité de l’air intérieur (QAI), exposé à divers polluants nuisibles (mobilier, revêtements…) ou menaces sanitaires qui se transmettent par l’air, est alors un enjeu sanitaire et de bien-être.

Il est possible de mesurer les effets d’une bonne QAI sur les personnes (meilleure productivité, sentiment de bien-être …), de même que ceux d’une QAI médiocre : maux de tête, fatigue, allergies, qui se traduisent dans les entreprises par une hausse du niveau d’absentéisme… Les conséquences sont également visibles au niveau des bâtiments, avec l’augmentation des coûts liés au fonctionnement (système de ventilation etc.) et, in fine, à la valeur immobilière du bien. L’enjeu est d’autant plus actuel que nos bâtiments sont de plus en plus étanches, notamment pour respecter les réglementations énergétiques, et que la ventilation dépend d’autant plus fortement de systèmes mécaniques, de leurs bonnes installation et maintenance. La pandémie actuelle est liée à un virus a priori transmissible dans l’air (notamment au travers des aérosols projetés). Elle donne un nouveau relief aux enjeux de QAI, qui fait déjà l’objet d’attentions renforcées des utilisateurs, propriétaires et exploitants.

Nous avons souhaité mettre en lumière 3 start-up œuvrant à améliorer la QAI : FoobotCozyAir et Rubix. Toutes font partie de l’écosystème Immowell-Lab, conçu et animé en partenariat avec Arp Astrance. Sans constituer des réponses concrètes à l’enjeu spécifique de la Covid-19, ces solutions s’adressent aux différentes composantes de la qualité de l’air : mesure, modélisation, adaptation, etc.

Trouvez les pitchs vidéos ici : https://cutt.ly/Klzp4iz