Les ressources en eau de notre planète s’amenuisent, et l’urbanisation s’effectue à un rythme plus rapide que la construction des infrastructures permettant le traitement et la distribution d’eau potable. L’ONU estime qu’aujourd’hui 4 personnes sur 10 souffrent directement de la raréfaction de l’eau dans le monde.

Dans le même temps, la Fédération des Entreprises de l’Eau estime qu’il y aurait un taux de fuite de 20% en France – rapport entre le volume d’eau introduit dans le réseau de distribution et le volume d’eau consommé.

La vétusté du réseau français, qui date la plupart du temps des années 1960, est la principale cause d’un tel résultat (corrosion, tassements, déformation, fragilité des points de piquage des branchements…). Nos voisins européens enregistrent des performances comparables : 21% de taux de fuite au Royaume-Uni, 27% en Belgique et jusqu’à 38% en Italie.

Améliorer la performance du réseau d’eau constitue une partie de la réponse au problème de la raréfaction de l’eau (exemple d’Hydrelis). 41 millions d’euros seront alloués à cet objectif entre 2019 et 2024. Cet aspect doit s’accompagner :

  • D’une réduction de la demande. Agir au niveau des citoyens pour qu’ils consomment mieux, et moins (exemple d’Hydrao).
  • D’une plus grande valorisation des eaux grises. Appliquer les principes de l’économie circulaire, et faire en sorte que les eaux usées ou grises deviennent à leur tour une ressource, au travers d’un réemploi ou d’une réutilisation (exemple de ThermiUp).

Nous avons choisi de vous présenter trois start-up qui apportent toutes une solution à ces enjeux : Hydrao, Hydrelis et ThermiUp. Ces solutions peuvent s’adresser autant à des professionnels de l’eau, de l’immobilier (foncières, bailleurs, etc.) qu’à des particuliers.

Trouvez les pitch vidéos ici : https://cutt.ly/nlzjUi5